“Dans sa vieillesse à Vienne, exilé volontaire de son cher Beloeil – que «l’humeur, l’horreur, l’honneur» l’empêchaient seuls de revoir –, Ligne connut la pauvreté. Des témoins de l’époque le décrivent, vieillard hirsute et sans perruque, et qui «puait fort». Il avait aussi un âne, un mouton et une chèvre qui chaque matin grimpaient sur son lit pour mendier du pain.”